L'empereur accepta. », « Ma mère, je n'ai plus le droit de vivre : j'ai tué… », https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Drame_de_Mayerling&oldid=174617590, Article contenant un appel à traduction en allemand, Catégorie Commons avec lien local différent sur Wikidata, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. le crâne de l'archiduc était enfoncé (témoignage de l', le 9 février 1889, soit deux semaines après les faits, dans une missive envoyée à Berlin, l'ambassadeur allemand à Vienne rapporte une conversation avec le Nonce apostolique Monseigneur. Werner II, un des fils de Radbot, est le premier à prendre le titre de comte de Habsbourg. Dès les premiers jours, l'hypothèse se fait jour selon laquelle le drame participe d'un double meurtre commis par des services secrets. Comme ses deux sœurs aînées, l'archiduchesse Sophie (morte à l'âge de deux ans avant la naissance de Rodolphe) et l'archiduchesse Gisèle, l'archiduc héritier est élevé par sa grand-mère paternelle, l’archiduchesse Sophie. Ce comportement jugé pusillanime lui vaut de fréquentes et violentes querelles avec son père. Il épouse le 10 mai 1881 la princesse Stéphanie de Belgique, fille de Léopold II et Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine, et devient de fait prince royal de Belgique. Lui, fier et souriant, a 24 ans. 21 août 1858 – 30 janvier 1889(30 ans, 5 mois et 9 jours). Rodolphe souffre des absences de sa mère qui court le monde, des défaites de l'Autriche face à la Prusse (1866), de la création de la double monarchie (1867), de l'amour exclusif de sa mère pour sa dernière-née (Marie-Valérie, 1868) des ragots propagés par les mauvaises langues qui prétendent que l'enfant est le fils du comte Andrássy, de la création de l'Empire allemand sous l'égide des Hohenzollern (1871). Vianney de Villaret - Publié le 18/06/18 Johannes de Habsbourg-Lorraine, arrière petit-fils du dernier empereur d'Autriche, Charles Ier, et de son épouse, Zita de Bourbon-Parme, a été ordonné prêtre samedi 16 juin. Zita de Bourbon-Parme était la fille du duc de Parme Robert Ier de Parme et de l'infante de Portugal Antonia de Bragance. Présentation. Il multiplie les conquêtes, et prend pour principale maîtresse Mizzi Kaspar dès 1886. À sa mort, le comte laissait à ses fils Albert IV et Rodolphe III des biens considérablement augmentés. Rodolphe saisit alors son revolver et tua Marie d'une balle dans le sein. Celui-ci a en effet appris que Rodolphe a demandé au pape Léon XIII la reconnaissance de nullité de son mariage. Dans la guerre entre l'empereur du Saint-Empire Henri IV et l'anti-empereur Rodolphe de Rheinfelden, Werner embrasse le parti de ce dernier (1077-1080). Cette version a été longtemps regardée avec suspicion, dans la mesure où elle était contredite par les annonces officielles de la Cour impériale. De même ses gants — contrairement à l'usage de l'époque — remplis de coton font naître des rumeurs sur les circonstances de sa mort[5]. Cette thèse est appuyée par des auteurs tel Jean des Cars, notamment depuis la découverte d'un télégramme de l'empereur adressé au pape Léon XIII, où il explique que son fils a été assassiné [3]. 21 octobre 1911. L'empereur est en colère et exige que son fils rompe avec Marie Vetsera. Après avoir refusé l'infante María del Pilar d'Espagne, ainsi que les princesses de Portugal et de Saxe, il épouse la très jeune princesse Stéphanie de Belgique le 10 mai 1881 en l’église des Augustins de Vienne. Finissons-en ce soir même ! Rodolphe saisit alors son revolver et tua Marie d'une balle dans le sein. Rodolphe II obtint comme dédommagement le comté deFrickgau. Le 1er avril 1989, Vienne accueille son ancienne impératrice vers sa dernière demeure. S.A.I. En 1879, on commence à lui chercher une épouse qui soit à la fois de son rang, catholique et dont l'union ne provoquera pas la susceptibilité des différents peuples de la monarchie. Ce qui fait rire tout Vienne, d'autant plus qu'Élisabeth répand autour d'elle la thèse de l'empoisonnement. Finissons en ce soir même ! Une descendante des Habsbourg réclame un château. Ces dissimulations vont vite alimenter les rumeurs sur l'hypothèse d'un double meurtre politique, passionnel ou même crapuleux. Selon le témoignage de l'. Mobilier de la chambre où Rodolphe a été retrouvé mort. De nombreux documents ont toutefois été détruits par les Habsbourg, ce qui ne permet pas de répondre à toutes les questions soulevées par cette hypothèse. Charles, Zita et leur fils Otto d'Autriche et l'empereur Charles et l'Impératrice Zita sur leurs lits de mort à Madère (pour Charles) le 1er avril 1922. Nouveaux éclairages sur une énigme vieille de cent seize ans. L'ensemble sera presque totalement rasé après le drame et remplacé par un monastère de carmélites. Dieu aura pitié de nous ! Dans ce contexte, Peter Poetschner a avancé l'hypothèse que Rodolphe et Marie étaient frère et sœur. Albert IV. Le danger qui me menace est de nature politique. Rodolphe IV, futur empereur Rodolphe I er, fils d'Albert IV, renforça la puissance de sa maison durant le Grand Interrègne en profitant de la situation chaotique pour acquérir des gages impériaux, promesses d'héritage et autres titres, telle l'avouerie de l'abbaye de Saint-Blaise en 1254, qui lui ouvrit le sud de la Forêt-Noire. L'archiduc de 15 ans vit alors dans une grande solitude morale, mais commence sa vie amoureuse avec des « comtesses hygiéniques ». Le prince héritier sur son lit de mort en 1889. En 1911, il épousait Zita de la famille des Bourbons de Parme. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La tombe de Rodolphe dans la crypte des Capucins à Vienne. Une dizaine de mois avant la naissance de Marie en 1871, le mari d'Hélène Vetsera, diplomate, se trouvait à Saint-Pétersbourg. Puis, l'ayant dévêtue, il la disposa pieusement sur son lit, il prit des roses et en couvrit la morte. Fils de l'empereur François-Joseph Ier d’Autriche et d'Élisabeth de Wittelsbach (« Sissi »), il épouse le 10 mai 1881 la princesse Stéphanie de Belgique, fille de Léopold II et Marie-Henriette de Habsbourg-Lorraine. L'impératrice Zita ne fournit aucun élément permettant d'identifier ces instigateurs mais cite Georges Clemenceau comme homme politique ayant participé à cette conjuration[4]. Immédiatement, les plus folles rumeurs circulent. L'infante Marie-Thérèse de Bragance était quant à elle l'épouse de l'archiduc Charles-Louis, frère de l'empereur François-Joseph dont le petit-fils fut l'empereur Charles Ier d'Autriche. Le drame de Mayerling (1964) de Stellio Lorenzi, avec Michel Dacquin et Perrette Pradier. Il est prénommé Rodolphe en l'honneur de son ancêtre Rodolphe Ier du Saint-Empire, premier empereur germanique de la dynastie Habsbourg. », « Nous ne pouvons plus vivre ! Voici la descendance de l’empereur Charles et de l’impératrice Zita d’Autriche-Hongrie : 8 enfants, 33 petits-enfants, 110 arrières-petits-enfants, 37 arrières-arrières-petits-enfants.. Otto ép Princesse Regina de Saxe-Meiningen (7 enfants, 22 petits-enfants et 8 arrière-petits-enfants ). 1. À la question de savoir si le danger vient de Stéphanie, Rodolphe répond : « Stéphanie ! Dans Les entretiens de l’Impératrice Eugénie de Maurice Paléologue, la dernière souveraine des Français, très amie avec le couple impérial d'Autriche-Hongrie, explique à l'auteur que l'impératrice Élisabeth lui a confié ce qui se serait passé cette nuit-là, lors de son dernier séjour au cap Martin. Mais le lendemain, le palais donne une nouvelle version : celle de la crise cardiaque. Rodolphe est également le père présumé de Robert Pachmann, fils probable de l’archiduchesse Marie-Antoinette d’Autriche-Toscane. La dernière modification de cette page a été faite le 11 septembre 2020 à 08:17. L'empereur, d'une nature secrète, se protège en se cachant derrière le protocole et a très tôt rappelé à son fils que ledit protocole ne permet à personne — pas même au prince héritier — de lui adresser la parole en premier ; le jeune prince ne peut donc guère discuter de ce qui lui tient à cœur avec son père. Il ne fait guère de doute que Marie est une fille adultérine. Proche des milieux progressistes et libéraux, le seul moyen qu'il ait trouvé pour critiquer la ligne suivie par son père est d'écrire de nombreux articles dans divers quotidiens viennois, publiés sous plusieurs pseudonymes, où il défend son idéal. En fait deux générations suffiront pour que Otto, petit-fils de Radbot, « se fasse appeler dans les actes comte de Habsburg ». Rodolphe (Rudolf) Ier de Habsbourg (Vienne, 18 juillet 1552 - Prague, 20 janvier 1612) CHARLES FRANÇOIS JOSEPH DE HABSBOURG-LORRAINE (Karl Franz Josef von Habsburg-Lothringen) (Persenbeug, 17 août 1887 - Madère, 1er avril 1922) a été, sous le nom de Charles Ier, le dernier… Après quoi, il écrivit à sa mère une longue lettre qui débutait ainsi : « Ma mère, je n'ai plus le droit de vivre : j'ai tué… ». Après le refus de celle-ci, Rodolphe rencontre au début de l'automne 1888 (par l'intermédiaire de sa cousine la comtesse Marie-Louise Larisch) Marie, la plus jeune fille de la baronne Hélène Vetsera. le revolver ayant servi à tuer Rodolphe n'était pas celui possédé par le prince impérial et chacune des six balles en avait été tirée. Il demanda cependant l'autorisation de la revoir une dernière fois. ». Il la tue d'un coup de pistolet avant de se tirer lui-même une balle dans la tête. Puis, l'ayant dévêtue, il la disposa pieusement sur son lit, il prit des roses et en couvrit la morte. De cette union, il a eu 8 enfants dont 4 sont entrés en religion. Voici les descendants de la branche ainée des Habsbourg, avec quelques mises à jours. Mourons dans les bras l'un de l'autre ! Une autre version, dont on ne sait d'où elle émane, affirme que le commanditaire de l'assassinat serait le chancelier allemand Bismarck, inquiet de la francophilie de Rodolphe : l'archiduc haïssait le pangermanisme et projetait, une fois monté sur le trône, de détacher l'Autriche-Hongrie de l'Allemagne et de la lier à la France. Fils de Rodolphe II ©. D'autres hypothèses plus ou moins fantaisistes évoquent une dispute entre les deux amants expliquant que Rodolphe soit mort cinq heures plus tard que sa maîtresse, s'étant suicidé après l'avoir tuée ; un assassinat perpétré par la femme de Rodolphe, Stéphanie de Belgique, lassée de ses adultères ; une mascarade pour masquer l'exil des deux amants à Corfou, Rodolphe n’ayant pu divorcer de Stéphanie, etc.[6]. On se retrouve aujourd'hui pour un nouvel épisode de l'émission culturelle, historique et documentaire, Secrets d'Histoire, présentée par Stéphane Bern et diffusée sur France 2. BRUXELLES Mayerling, 30 janvier 1889: Rodolphe de Habsbourg, fils de l'empereur d'Autriche, est découvert mort dans un pavillon de chasse, en compagnie de Mary Vetsera, une jeune fille de 17 ans. Il est le frère de Matthias (Mátyás) II de Habsbourg. Par sa naissance archiduc d’Autriche et prince héritier de l’Empire austro-hongrois, il meurt à 30 ans dans des circonstances mystérieuses aux côtés de sa maîtresse Marie Vetsera, dans le pavillon de chasse de Mayerling. le corps de Rodolphe montrait des signes d'une confrontation violente avant sa mort ; des lacérations avaient été découvertes sur plusieurs parties du corps ; ses mains très abimées, montraient des signes de lutte (contrairement aux usages, l'archiduc sera inhumé, ses mains revêtues de gants noirs). Par ailleurs, Rodolphe tient de sa mère un amour profond pour la Hongrie et porte aux Magyars un intérêt fédéraliste. Le prince héritier est enterré le 5 février dans la Crypte impériale de l’église des Capucins à Vienne après avoir été d'abord exposé à la Hofburg sur un catafalque élevé masqué, notamment par des palmiers, comme pour cacher sa tête. 1. Dans Les Entretiens de l'Impératrice Eugénie de Maurice Paléologue, la dernière souveraine des Français, très amie avec le couple impérial d'Autriche-Hongrie, explique à l'auteur que l'impératrice Élisabeth lui a confié ce qui s'est réellement passé cette nuit-là, lors de son dernier séjour au cap Martin. Le danger qui me menace est de nature politique. En revanche, le prince aurait convaincu Marie Vetsera, jeune fille de petite noblesse âgée de 17 ans. Portraits des amants à des âges presque analogues. Zita de Bourbon-Parme, épouse de Charles Ier et par conséquent dernière impératrice d'Autriche, était la fille du duc de Parme Robert Ier de Parme et de l'infante de Portugal Antonia de Bragance. ». Rodolphe « se soigne » alors par de la morphine, de la cocaïne et de l'alcool, afin de surmonter son impuissance. Charles et Zita se marient au château de Schwarzau, en Autriche. Rodolphe François Charles Joseph de Habsbourg-Lorraine (Rudolf Franz Karl Joseph von Habsburg-Lothringen) (Laxenbourg, 21 août 1858 Mayerling, 30 janvier 1889) est un membre de la maison impériale et royale d'Autriche-Hongrie. Rodolphe est né le 1er mai 1218, vraisemblablement au château de Limbourg (pays de Bade). Rodolphe François Charles Joseph de Habsbourg-Lorraine (Rudolf Franz Karl Joseph von Habsburg-Lothringen), né à Laxenbourg le 21 août 1858 et décédé à Mayerling le 30 janvier 1889, est un membre de la maison impériale et royale d'Autriche-Hongrie. Ils se répétaient : « Nous ne pouvons plus vivre ! (Zita Sébastien Marie-des-Neiges Michael Gabriel Raphael Marcus d'Aviano de Habsbourg-Lorraine) Princesse . Cette annonce couplée à la découverte de la grossesse de Marie pourrait être une raison qui poussât Rodolphe à tuer Marie avant de se suicider[5]. Après quoi, il écrivit à sa mère une longue lettre qui débutait ainsi : « Ma mère, je n'ai plus le droit de vivre : j'ai tué… » C'est par cette lettre que l'empereur et l'impératrice ont pu connaître les péripéties du drame. On sait par ailleurs qu’en 1975, Mgr Boyer renseigna Otto de Habsbourg, et sa mère l’impératrice Zita, sur un point assez vague de leur généalogie en leur dévoilant un lien entre leur famille et le comte franc Bellon de Carcassonne (778 – 812) par l’intermédiaire des comtes catalans qui lui succédèrent. Il se compose alors d'une grande bâtisse trapue, rectangulaire, à un étage ainsi qu'une aile basse destinée au logement du personnel de service, un chenil, des écuries, des communs. Par sa naissance Archiduc dAutric… L'empereur accepta. Zita de Habsbourg, Impératrice courage (1892-1989) avec Jean Sévillia. Mourons dans les bras l'un de l'autre ! Selon la tradition instaurée par son arrière-arrière-grand-père François-Étienne de Lorraine, époux de Marie-Thérèse La grande, dès le lendemain de sa naissance, le jeune prince héritier est proclamé Colonel du dix-neuvième régiment d'infanterie par son père. Le soir venu, il expliqua à sa maîtresse la dispute qu'il avait eue avec son père. Mourons dans les bras l'un de l'autre ! L'empereur s'exprima sur un ton tellement violent que l'archiduc, effrayé, finit par consentir à congédier sa maîtresse. Marie rencontre l'archiduc probablement à l'automne 1888 par l'intermédiaire d'une cousine morganatique de l'archiduc Marie von Wallersee-Larisch. Le 28 janvier, Marie Vetsera et Rodolphe quittent chacun de leur côté Vienne pour se rendre au pavillon de chasse de Mayerling, où le prince héritier doit chasser avec le comte Joseph Hoyos et son beau-frère, le prince Philippe de Cobourg (époux de la sœur de Stéphanie). multiplie les incartades, tant dans sa vie publique que privée. Une autre version, émanant d'on ne sait où exactement, affirme que le commanditaire de l'assassinat aurait été le chancelier allemand Bismarck, inquiet de la francophilie de Rodolphe : l'archiduc, haïssant le pangermanisme, projetait, une fois monté sur le trône, de détacher l'Autriche-Hongrie de l'Allemagne et de la lier à la France. La dernière modification de cette page a été faite le 1 décembre 2020 à 12:03. Petit-fils des bienheureux Charles d'Autriche et son épouse Zita, l'archiduc Imre de Habsbourg-Lorraine est marié et père de trois filles. Vers six heures du matin, Rodolphe se tua d'une balle dans la tête. L'empereur Charles de Habsbourg, Né à Persenbeug sur le Danube, en Basse Autriche, le 17 août 1887, Charles était le fils aîné de l’archiduc d’Autriche Otton François. Celle-ci refusa, voulut prévenir la police qui n'accorda pas foi aux allégations d'une demi-mondaine. Ce fut alors une scène affreuse de désespoir et de tendresse. Pour préserver l'image de la dynastie, l'empereur et roi François-Joseph fera l'impossible pour obtenir du pape Léon XIII que son fils soit inhumé chrétiennement dans la crypte impériale du couvent des Capucins (envoi après le télégramme diplomatique officiel d'un autre télégramme codé dans lequel l'empereur annonce que son fils a été tué), et non à l'écart comme l'Église l'impose à l'époque à tous les suicidés (la rumeur du suicide se propagera cependant jusqu'à Rome où le cardinal Rampolla, secrétaire d'État de Léon XIII, tentera sur ce fondement de s'opposer aux obsèques religieuses de l'archiduc - en conséquence de quoi, en 1903, l'empereur-roi usera de son droit d'exclusive pour empêcher l'élection du cardinal Rampolla à la papauté). Le jour même, le journal du soir annonce que l’archiduc est mort d’une crise d’apoplexie. Selon la version officielle, il s'est suicidé après avoir tué sa maîtresse. Ils sont à mille lieues d’imaginer la tournure soudaine que va prendre leur vie avec l’arrivée de la guerre, moins de trois ans Tout lire… Les désaccords grandissent peu à peu, et Rodolphe finit par retrouver son ancienne vie de célibataire. Ses tantes maternelles étaient de très proches parentes de l'archiduc Rodolphe. Marie Vetsera, fille du baron Albin Vetsera, administrateur des biens du sultan de Constantinople, et d'Hélène Baltazzi (ou Baltatsi), est née le 19 mars 1871 à Vienne. L'impératrice Zita ne fournit aucun élément permettant d'identifier ces instigateurs mais cite Georges Clemenceau comme homme politique ayant participé à cette conjuration[3]. Rodolphe et Marie sont retrouvés morts au matin du 30 janvier 1889 dans le pavillon de chasse, tués par balles : suicide organisé par Rodolphe et sa maîtresse ou attentat politique ? Ah non, elle ne représente qu'un malheur privé. Craignant également de mourir avant d'avoir eu le temps d'accomplir son œuvre de libéralisation de l'empire (comme le père de Guillaume II, Frédéric III, mort en 1888 après trois mois de règne), Rodolphe est également très affecté par le sort tragique du roi de Bavière Louis II. Le matin du 30 janvier 1889, l'archiduc Rodolphe, héritier de la couronne impériale et royale d'Autriche-Hongrie, fils de François-Joseph Ier, empereur d'Autriche et roi de Hongrie, et de l'impératrice Élisabeth, est retrouvé mort à Mayerling. Ses derniers mots ont été un simple nom: «Jésus». Le mariage, heureux au départ, est rapidement un échec. François-Joseph fait l'impossible pour tenter de cacher la présence de Marie Vetsera aux côtés de son fils. Il est également le beau-frère du dernier empereur du Mexique, frère jalousé de François-Joseph, tombé tragiquement sous les balles des républicains de Juárez. Il obtient aussi l'avoue… Il contamine alors son épouse, qui en conséquence ne peut plus avoir d'enfants. Celui-ci trompe ouvertement son épouse la reine Marie-Henriette, une archiduchesse d'Autriche de la branche hongroise. Peter Poetschner, critique et historien d'art et expert des musées de Vienne, a comparé les portraits de Rodolphe et Marie, trouvant une troublante ressemblance notamment au niveau du nez, des oreilles et du menton. ∞ avant 1217 Heilwig de Kibourg. En réalité, l'empereur François-Joseph eut une explication très vive avec son fils au sujet de Mlle Vetsera et le menaça même de le déshériter s'il ne rompait pas aussitôt cette liaison. Cette thèse est appuyée par des auteurs tel Jean des Cars, notamment depuis la découverte d'un télégramme de l'empereur adressé au pape Léon XIII, où il explique que son fils a été assassiné[2]. Cependant, dans la biographie qu'elle consacre à l'impératrice d'Autriche, l'historienne autrichienne Brigitte Hamann prétend qu'au contraire, « Sissi » méprisait l'impératrice Eugénie et que ses confidences n'avaient d'autre but que de mieux dissimuler la vérité. Lorsqu'il atteint l'âge de dix-neuf ans, Rodolphe achève ses études. Alors qu'il veut faire des études de sciences naturelles, notamment d'ornithologie, Rodolphe est contraint de poursuivre sa carrière militaire et, en 1879, il sert au Trente-sixième régiment d'infanterie. Après l'intervention de l'impératrice, Gondrecourt est remplacé par le colonel-comte Joseph Latour von Thurmburg (de) (1820 – 1904), un aide de camp de l'empereur également d'origine lorraine mais plus pédagogue et libéral, qui saura se faire aimer de son élève. Selon Zita, l'archiduc aurait été assassiné car il aurait refusé de participer à un complot contre son père, complot qui visait à détrôner François-Joseph et à le remplacer, sur le trône de Hongrie par Rodolphe, et sur le trône d'Autriche par l'archiduc Jean de Habsbourg-Toscane ; Rodolphe aurait été informé de certains éléments relatifs à ce complot et aurait été assassiné, afin que les instigateurs ne soient pas inquiétés. La princesse Stéphanie lui donnera une fille, l’archiduchesse Élisabeth, née le 2 septembre 1883 au château de Franzensburg. L'empereur François Joseph aurait eu une explication très vive avec son fils au sujet de Mlle Vetsera, il le menaça même de le déshériter s'il ne rompait pas aussitôt cette liaison. Dieu aura pitié de nous ! Selon elle, l'archiduc aurait été assassiné car il aurait refusé de participer à un complot contre son père, qui visait à détrôner François-Joseph et à le remplacer, sur le trône de Hongrie par Rodolphe et sur le trône d'Autriche par l'archiduc Jean de Habsbourg-Toscane ; Rodolphe, informé de certains éléments relatifs à ce complot, aurait été assassiné afin que les instigateurs ne soient pas inquiétés. Enfin selon le docteur Gerd Holler qui a inspecté le corps de Marie Vetsera en 1955, cette femme ne portait pas de trace de balle. Marie aurait eu notamment une blessure au crâne[4]. Il est frustré de n'être que prince héritier à trente ans alors que son père était empereur à dix-huit ans et que le nouvel empereur allemand Guillaume II, qu'il méprise profondément, en a 29. Le père Johannes de Habsbourg-Lorraine (au centre de l'image) lors de son ordination. L’archiduc Rodolphe d’Autriche, né le 5 septembre 1919 à Prangins en Suisse et décédé à Bruxelles le 15 mai 2010 (à 90 ans) est le sixième enfant de l’empereur Charles et de l’impératrice Zita d’Autriche. Le drame de Mayerling est un événement qui se déroule le 30 janvier 1889 : l'archiduc héritier d'Autriche Rodolphe, fils de l'empereur François-Joseph Ier d'Autriche et de l'impératrice Élisabeth, dite « Sissi », est retrouvé mort en compagnie de sa maîtresse, la baronne Marie Vetsera, une fille mineure, dans son pavillon de chasse de Mayerling. Dès les premiers jours, cependant, plusieurs éléments venaient jeter le doute sur la réalité d'un double suicide et accréditaient l'hypothèse d'un assassinat : 1 - Plusieurs témoins ont en effet attesté que : 2 - D'autres éléments confortent cette thèse : La version du meurtre a été officiellement avancée en 1983 par l'impératrice Zita (1892-1989), veuve de l'empereur Charles Ier d'Autriche. Mayerling est un pavillon dépendant du monastère cistercien de Heiligenkreuz ; construit autour du XIVe siècle, il est saccagé par les Turcs puis reconstruit. Héritier entre autres des trônes d'Autriche, de Hongrie et de Bohême, Rodolphe de Habsbourg-Lorraine, archiduc héritier, second personnage de l'État après son père, Rodolphe (Rudolf) Ier de Habsbourg est le fils de Maximilien (Miksa) II de Habsbourg et de Marie (Maria) de Habsbourg. Le pavillon est acquis en 1887 par l'archiduc, qui le transforme en pavillon de chasse, tout en conservant la chapelle. Comte de Habsbourg, landgrave de Haute-Alsace († 1239 ou 1240). Finissons-en ce soir même ! Le 30 janvier 1889, l’archiduc Rodolphe, fils unique de l’empereur d’Autriche François-Joseph et de l’impératrice Elisabeth, est retrouvé mort à Mayerling. Marie serait la fille de Rodolphe et enceinte à son tour malgré l'acte incestueux, elle serait morte des conséquences de l'avortement ordonné par l'empereur, Rodolphe désespéré se suicidant à son tour[7]. La mort de l'archiduc Rodolphe de Habsbourg a donné lieu à plusieurs adaptations librement inspirées de l'histoire. Installé en Belgique, l’une de ses dernières apparitions publiques fut aux funérailles de sa belle-sœur l’archiduchesse Régina. Cette dernière lui répondit froidement qu'elle était enceinte. Craignant de ne pouvoir y arriver seul, il avait proposé à Mizzi Kaspar, une de ses maîtresses de l'accompagner dans la mort. Rodolphe est très intelligent, peu conventionnel, impulsif et très libéral, alors que Stéphanie est plutôt sérieuse, protocolaire et terne. Il est le fils aîné et l'unique héritier de Albert IV le Sage ( 1239), comte de Habsbourg, et d'Edwige de Kybourg ( … Et la thèse officielle parle de « crise cardiaque » ou d'« apoplexie ».